Semées dans l’imaginaire du couturier, les robes de l’été ont l’âme en fleurs. On aime cette métaphore du mannequin fleur, ces larges pétales éclos comme une coiffe parfumée, cette floraison extraordinaire de mignonnes, et la femme n’est plus qu’une immense fleur, luxuriante, magnifiée par le coup de crayon enchanteur et les gestes sacrés de l’atelier.
Il y a là de quoi s’ extasier , quand mode et poésie se rejoignent… C’est enivrant !
Comme vous dîtes vrai Rina. Entrons dans la danse fleurie. La mode fait de bien jolies choses et quant on peut parler de Ronsard et de mode à la fois…
Je vous embrasse.
Je ne connaissais pas ce nom, mais je vais le retenir : je trouve la première robe vraiment très réussite, sexy juste comme il faut et pleine de charme. Merci pour cette découverte.
Je suis contente de vous avoir fait découvrir le talentueux travail de ce couturier, oui retenez bien son nom, il magnifie la femme et fait des merveilles mais en silence.
Je vous embrasse.
D’une part chère Miss patchouli je te remercie de faire partie modestement de ton univers! d »autre part je te suggère si je puis me permettre de mettre un service abonnement à ton blog!!!! je resterai un fidèle lecteur et commentateur de ton blog car il me plait de relire cette belle correspondance toute virtuelle soit elle que nous échangeons par blog, et mail interposés.
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A très vite, belle soirée pour toi Arnaud.