Après le tintamarre , Dior s’est offert un show solennel, une procession lente tout en poésie, en velours, robes courtes volantées ou longues à la mousseline flottante, capelines, vestes cintrées, bottines d’antan, maquillage discret sur le visage des mannequins, zéro personnalités au premier rang et un fond sonore sans techno.
Un bel exercice de style avec un final en blanc très émouvant: je rêvais d’un podium foulé par les petites mains des ateliers pour recueillir les vivats de la foule et ça John Galliano l’a fait. Finie la séquence dédiée au couturier, seule sur la scène une équipe d’âmes humbles aux doigts de fée pour célébrer une collection romantique au cœur blessé.
très belles photos de très beaux modèles d’une certainement très belle collection d’un grand couturier absent!
merci pour tes photos
je garde certaines pensées pour moi…
Une page se tourne Princesse.
Plein de bisous de soleil pour toi fidèle lectrice.