Dans les magazines elles sont toujours au bord du rêve. Romantiques ou décalées, elles attirent l’œil, se distinguent de tout le reste et nous donnent une allure folle. Mais de la page de papier glacé jusqu’à nos dressings, la robe longue a la vie dure quant elle descend dans la rue. A se promener nonchalamment de blanc vêtue on risque de se faire indiquer en chemin la direction de l’église, et puis pour peu que le méchant tag du strapontin en skaï du métro soit encore tout frais, c’est le teinturier qui hérite d’un vrai nettoyage à sec. Si elle se fait plus discrète l’hiver, abritée des regards sous un manteau maxi en velours afin d’éviter les superpositions, c’est pour mieux renaître au printemps sous le souffle d’une brise légère auréolée d’une chevelure longue et lisse.
Celles qui m’ont inspirées cet article sont inaccessibles mais les friperies regorgent de modèles de robes de mariée à retravailler et à exhumer de l’oubli.
oui j adore !!!
mais difficile de lui trouver une meilleure place que dans le placard a ma robe longue a moi ! 😉
J’espère que cet été tu libéreras ta robe longue du placard! J’ai trois modèles: un dos nu, une robe indienne et une autre avec des fleurs géantes; avec, je me sens libre et passe presque inaperçue dans les rues de Paris.
Bisous Marianne.